La Fabrik... Boîte de nuit, énorme boîte de nuit...
On avait tenté d'y aller à l'automne mais quand on avait vu la queue, on avait abandonné. Cette queue... Inimaginable en France, honnêtement. Plus de 300m, qui fait le tour du bâtiment, et des gens prêts à attendre plus de deux heures pour potentiellement se faire refouler à la fin... Pfiou...
Mais on a des relations maintenant! :o) Diana, notre colloc, connaît le mec qui est chargé de déposer les flyers et les affiches de cette boîte dans les bars, et plus précisément dans le bar où elle bosse. Elle l'a appelé pour qu'on soit mis sur la guest list, histoire de sauter la queue.
Charly n'a pas pu se joindre à nous car il bossait le samedi matin, le pauvre...
On a donc tenté la mini-queue spéciale guest-list, mais manque de pot, on était pas sur la liste, faich'!! Mais grâce au sourire de Diana, on a quand même pu rentrer directement, même s'il nous a fallu payer notre entrée (£12). Ensuite, queue pour le vestiaire. Arrivé au bout, on nous dit que le vestiaire est plein et qu'il faut aller à l'autre vestiaire, fuck... Re-queue... Au bout d'une bonne demi-heure, on pénètre enfin dans l'antre. Et là, c'est un autre monde.
Plusieurs salles, gigantesques, des jeux de lumières, des lasers, la grosse artillerie! La musique : techno. Pas trop hard, juste du drum'n'bass, j'adore! :-) Et là, tu te laisses emporter par ce son... Ce putain de son, avec des basses si fortes que tout ton corps vibre en rythme, tes oreilles, tes narines, tes cheveux, et même tes dents!! Incroyable, il faut le vivre...
On est resté jusqu'à la fin, à danser sur les scènes diverses, à profiter de ce moment de communion intense avec le musique... Ma cheville, fragile et toujours douloureuse, ne m'a pas trop fait souffrir, l'alcool aidant je suppose. Et bizarrement, aujourd'hui, j'ai moins mal, peut être grâce aux vibrations qui ont un pouvoir de guérison, allez savoir...
Restés jusqu'à la fin donc, grave erreur. Car la queue rencontrée dehors au moment de l'entrée est cette fois à l'intérieur, pour le vestaire. Dur moment, très dur... Très long... Queue dans les escaliers, sur 3 étages, très fatigué, luttant pour ne pas s'endormir.
Rentré à la maison, il fait déjà jour depuis un moment. Le lit de Charly est vide, il est déjà parti au boulot...
Bilan : très positif, pour un Fred qui ne voulait pas sortir et qui y allait à reculons, cette soirée restera mémorable. Prêt à recommencer? Je ne sais pas... Toute cette attente, c'est pas humain. Mais mon corps réclamera certainement sa dose de basses un de ces quatre, j'en suis sur.
Note à moi-même : prévoir des boules-quiès la prochaine fois, si je ne veux pas être sourd à 40 ans...
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
2 commentaires:
Bon alors la suite ?
En plus t'as pas d'excuse là ! Tu bosses plus !
Stefanai a raison ! C'est quoi ce travail, hein ? On proteste !!!
Enregistrer un commentaire